Je plussoie sur toute la ligne, merci aux Pumas, par deux fois, et accessoirement aux Anglais.

Tss tss il est fou notre Bertrand national, regardes les stats, et tu verras ce qu'est la mort du jeu...

CDM 54

Si 24 buts marqu�s et 14 encaiss�s en 6 matches sont la mort du jeu, alors dans ce cas je veux bien le voir mourir ce jeu, et tous les samedis sur nos tristes pelouses de L1...

Pour les grecs je suis d'accord, mais dans ce cas tu aurais pu citer la CDM 90, fam�lique en buts...

Maintenant en 54 il est clair que les Hongrois avaient le plus beau jeu, et les plus beaux joueurs, mais Morlock et Rahn sont pass�s par l�...

Aussi comme nous nous connaissons bien, je consid�re cel� comme une provocation gratuite de ta part

Quand au gros sac � m.... ci dessous :



Je me sers de sa sale t�te pour affuter mon lancer aux fl�chettes, ce type me d�becte d�j� puissance 10 au foot, mais alors l�, avec ses Chaaaabbbbbaaallllllllllll, quand il ne se plante pas de joueur, je le hais encore plus que l'ASNL ou le Racing de Strasbourg

J'ai parcouru plusieurs fora d�di�s � la CDM de rugby, ce type est raill� et villipend� par une grande majorit� des amateurs de ce beau sport, mais qu'est ce qui lui ont fait lors de son passage entre C+ et TF1, ils l'ont lobotomis�????

Il pr�parait le futur rendez vous chez le juge d'instruction suite � la demande de divorce d�pos�e selon deux m�dia par sa future ex �pouse

Team USA �tait bien pr�sente, et a offert une r�sistance plus qu'honorable dans le groupe A aux Anglais, Samoans et Tongiens

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Surtout, pas de provoc, jamais de provoc....

Thanks Johnny

Aucune importance, les �lecteurs ne s'y tromperont pas, vous aurez une Assembl�e bleue horizon, amen je vous le dis...

Les violences, les d�gradations, les blocages de fac, apr�s un r�sultat net avec une tr�s grosse participation, devinez � qui la CNT et les joyeux lurons d'extr�me gauche vont rendre service...?

D'autant que ces "gens" l� n'ont m�me pas pour la plupart apport� leur voix � Royal, ne se sont pas d�plac�s, ils m�diteront sur la mani�re de s'opposer dans une d�mocratie moderne quand ils feront un petit s�jour au gnouf....

Je croyais que le "TSS" �tait f�d�rateur parait il?

Fallait qu'ils y pensent avant...

But somptueux de Quaresma, je l'avais d�j� vu en mettre un similaire il y a quelques temps, ext�rieur pied droit...

Pour mon plaisir :

R�publique Tch�que - Allemagne , le score 1-2) ne refl�tant pas le match, totalement domin� par la Mannschaft.

Viva Germania

Le monde du foot Fran�ais serait presque � mourir d'ennui sans les p�rip�ties Marseillaises...


Irrit� par le nouveau d�lai demand� par Jack Kachkar, Robert Louis-Dreyfus a d�cid� de ne pas vendre l�Olympique de Marseille � l�homme d�affaires canadien. L'ultime rebondissement de ce dossier ?

On sentait le coup venir. Mais le d�nouement du feuilleton hivernal qui a agit� la Canebi�re est finalement plus violent que pr�vu. Agac� par de longues semaines de n�gociations et surtout irrit� par le nouveau d�lais r�clam� par Jack Kachkar, Robert Louis-Dreyfus a finalement d�cid� de ne pas vendre l�Olympique de Marseille � l�homme d�affaires canadien. Le patron de l�OM entend ainsi prot�ger son club d�une nouvelle crise et il met un terme d�finitif aux n�gociations, consid�rant que Kachkar ne poss�de pas l�argent n�cessaire pour boucler l�op�ration. Pourtant, le Canadien avait d�j� garanti 85 M��

Petit retour en arri�re pour essayer d�y voir plus clair. En fin d�ann�e derni�re, RLD confirme son intention de vendre l�OM � un inconnu, Jack Kachkar, homme d�affaires canadien qui a fait fortune dans les produits pharmaceutiques mais que personne ne conna�t dans son pays. D�but janvier, ce myst�rieux repreneur re�oit Pape Diouf dans son jet priv� � Marignane. Deux semaines plus tard, le Canadien prend physiquement possession du club. En un peu plus d�un mois et demi, il aura �t� plus souvent pr�sent � Marseille que Louis-Dreyfus en une d�cennie. Le 26 f�vrier, alors que la vente devait se concr�tiser, Kachkar demande un report. Premier accroc. Une semaine plus tard, il annonce dans un communiqu� qu�il est le propri�taire le l�OM. Mais l�entourage de Louis-Dreyfus d�ment. Depuis, Kachkar n�est plus r�apparu � Marseille et RLD se tait. En coulisses en revanche, les n�gociations vont bon train.

En coulisses justement, il se murmure que Kachkar souhaite acheter une propri�t� pr�s d�Aix-en-Provence o� il aurait domicili� une SCI au nom de son �pouse. Probl�me : le v�ritable propri�taire des lieux dit tout ignorer de M.Kachkar� Auparavant, les responsables du football fran�ais ont expliqu� � ne pas bien sentir � le Canadien. Il semble m�me que les interrogations du pr�sident de la LFP, Fr�d�ric Thiriez, qui s�est entretenu une fois avec Kachkar, soient � l�origine d�une minutieuse enqu�te des services de renseignements fran�ais. Ces derniers, associ�s au Fisc, ont affirm� dans un premier rapport ne rien avoir relev� d�anormal dans les fonds apport�s par Kachkar pour acheter l�OM. Il appara�t pourtant que ces investigations ont affol� les financiers du Canadien, qui semblent avoir fait machine arri�re.

L'OM pris en otage par RLD ?

Convoqu�s il y a une dizaine de jours devant la DNCG pour s�expliquer sur leurs intentions r�elles, RLD et Kachkar n�ont pas daign� se d�placer. Au m�me moment, la soci�t� Sportfive a propos� � Kachkar un investissement de 40 M� sur quatre ans pour g�rer la publicit� du club. Affol�, le comit� d�entreprise de l�OM a demand� des �claircissements au repreneur annonc�. Bref, c�est le flou le plus total. M�me du c�t� de la municipalit�, on commence � s�interroger en voyant que Kachkar creuserait tout seul des pistes pour le prochain march� des transferts. A quoi joue-t-il ? Qui le sait r�ellement ? On ne le saura finalement peut-�tre jamais...

La fin de la piste Kachkar devrait en revanche relancer la derni�re folle rumeur qui court dans les couloirs feutr�s de la LFP, de la Pr�fecture des Bouches-du-Rh�ne et du Palais de Justice de Marseille. Il se dit en effet que Louis-Dreyfus profitait des difficult�s de Kachkar pour mettre une sorte de pression en vue de son proc�s en appel sur les comptes de l�OM pr�vu pour juin. Certains en effet n�h�sitent pas � affirmer que si sa condamnation n��tait pas largement revue � la baisse, l�homme d�affaires suisse pourrait brader l�OM � n�importe qui. Lorsque l�on conna�t l�importance du club dans la vie sociale de la r�gion marseillaise et dans le panorama du football fran�ais, on comprend en effet que l�OM constitue l� � otage � parfait pour toute personne souhaitant n�gocier � une remise de peine �. En attendant, RLD reste le patron du club phoc�en. Et le seul repreneur potentiel vient de s'envoler...

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Engonc� dans sa parka rouge, dans le grand Kursaal de Besan�on, il s'est fait discret sur sa chaise au milieu du public venu �couter Jos� Bov�, jeudi 22 mars. Charles Piaget, figure de la lutte des "Lip", applaudit � "l'insurrection �lectorale" appel�e par son ami paysan.

Sur fond musical du chant de la Commune de Paris, La Butte rouge, Charles Piaget explique que l'histoire de cette occupation d'usine de montres au printemps 1973 "appartient � tout le monde" : "On est entr� ensemble dans la bagarre cette ann�e-l� : nous � 900 dans l'usine de Palente avec notre slogan "on fabrique, on vend, on se paye", eux sur le plateau du Larzac � 103 paysans contre l'occupation militaire." Timidement, il ajoute : "Avec Jos�, on est en phase : il d�fend le social et l'�cologie."



Se souvenant aussi qu'en juin 1973 quand, militant du PSU, il a �t� pouss� par ses camarades � se pr�senter � l'�lection pr�sidentielle, la majorit� de l'organisation emmen�e par Michel Rocard s'y est oppos�e "pour ne pas g�ner Fran�ois Mitterrand". Comme un parall�le aux d�clarations de Fran�ois Hollande d�non�ant la candidature "de division" de M. Bov�.

En �cho, le candidat altermondialiste raconte � la tribune : "J'avais 20 ans et cette lutte d'ouvriers qui d�cidaient de se r�approprier leur outil de travail et de produire seuls, c'�tait une nouvelle fa�on d'�tre digne." Il �voque encore cette "histoire singuli�re d'ouvriers et de paysans" qui se sont retrouv�s quand les gr�vistes de Lip sont venus les aider � creuser une tranch�e pour amener l'eau � la premi�re bergerie "libre" face au camp militaire.

Un parfum "revival" qui parle dans cette salle, o� pour les vieux comme les plus jeunes, le nom de Lip est encore une fiert� ouvri�re. La veille, le film de Christian Rouaud, Les Lip, l'imagination au pouvoir, avait fait salle comble.


"GRANDS FR�RES"


Jos� Bov� en profite pour �voquer un autre de ses "grands fr�res", Bernard Lambert, leader des Travailleurs paysans. "En 1973, encore, il avait dit : "Plus jamais les paysans ne seront des Versaillais en s'opposant � ceux qui veulent changer le monde." C'est cet engagement que j'essaie d'honorer", pr�tend-il.

Charles Piaget sourit, presque tristement : "Jos� Bov� est un des plus pr�s de ce que je voudrais. Mais �a me navre que le camp antilib�ral n'ait pas r�ussi � se f�d�rer. Jos� va cr�er une dynamique mais un candidat unique, �a aurait �t� autre chose ! Ma famille, c'est autant la LCR, les Verts que les Alternatifs." Alors, il avoue que son bulletin de vote n'a pas encore de nom. "Je vais r�fl�chir", souffle-t-il en s'�clipsant.

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Un nouveau Trait� propos� par JM Le Pen � l'occasion des 50 ans du Trait� de Rome

Fran�ois Bayrou a d�taill� ses propositions de r�forme du syst�me des retraites et de meilleure prise en compte des personnes �g�es dans la soci�t� fran�aise, menac�e selon lui par un grave conflit de g�n�ration.

Le candidat de l'UDF � l'�lection pr�sidentielle propose notamment de permettre � chaque salari� de choisir l'�ge de son d�part � la retraite en fonction du niveau de pension dont il souhaite b�n�ficier. Il s'est aussi engag�, s'il est �lu, � porter en cinq ans le minimum retraite � 80% du smic.

Lors d'une conf�rence de presse au si�ge de l'UDF, rue de l'Universit�, � Paris, il a plaid� pour une r�forme des retraites "�quitable, adaptable dans le temps, durable, soutenable pour tous les Fran�ais et par tous les Fran�ais".

D�sireux d'offrir "une �galit� de droits devant la retraite" il a d�fendu l'id�e d'une r�forme prenant en compte les r�gimes sp�ciaux et la p�nibilit� du travail.

Cette r�forme, discut�e et n�goci�e avec les partenaires sociaux, "y compris les repr�sentants des retrait�s", sera vot�e par le Parlement et soumise � r�f�rendum.

"Ce n'est pas une affaire d'experts, c'est un affaire de citoyens", a insist� le d�put� b�arnais.

"J'ai choisi de pr�parer cette r�forme (...) en donnant � chacun la garantie qu'il aura son mot � dire", a-t-il ajout�, faisant sienne une phrase de Pierre Mend�s France : "Le plus grand danger c'est la n�gligence des citoyens".

"Une fois la r�forme vot�e, elle ne devra plus �tre l'affaire de l'Etat mais celle des partenaires sociaux", a expliqu� Fran�ois Bayrou.

"Fracture g�n�rationnelle"
De 2000 � 2020, la population des plus de 65 ans en France va passer de 10 millions � 15 millions (+50%), celle des plus de 75 ans de quatre � six millions et celle des plus de 85 ans va doubler pour atteindre deux millions, a-t-il fait remarquer.

Fran�ois Bayrou a �voqu� les risques d'une "fracture g�n�rationnelle" et de l'"impossibilit� de prendre soin de nos a�n�s si nous ne changeons pas les r�gles du jeu".

Alors qu'une personne sur deux arrive aujourd'hui � l'�ge de la retraite en ayant d�j� perdu son emploi, Fran�ois Bayrou veut inciter les entreprises � employer les seniors, � qui il souhaite redonner une place � part enti�re dans la soci�t� en les faisant encadrer des activit�s de loisirs ou culturelles.

Son projet inclut une am�lioration de l'offre de service � domicile, un accroissement du nombre d'infirmi�res et une professionnalisation des m�tiers de l'aide � la d�pendance.

"On a besoin d'une grande politique de pr�vention de la d�pendance", a-t-il dit, pr�nant la mise en place d'un "contrat-pr�vention d�pendance" sign� entre le patient et le m�decin traitant en coop�ration avec l'assurance-maladie.

La prise en compte des personnes �g�es passe en outre selon lui par une r�forme du logement. "Si chacun est dans son ghetto, le lien social est mort", a dit le dirigeant centriste.

S'il est �lu, Fran�ois Bayrou veut cr�er un grand minist�re, provisoirement baptis� "minist�re de la nouvelle soci�t�", charg� de mener une r�flexion � long terme sur des sujets tels que la jeunesse et les sports, les personnes �g�es ou encore internet, qu'il consid�re comme une "r�volution d�mocratique".

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Nicolas Sarkozy a r�affirm� jeudi soir, pr�s de Pointe-�-Pitre, en Guadeloupe, qu'il entendait continuer � mener sa campagne pr�sidentielle en "homme libre" de sa parole et � "bousculer les habitudes et les tabous". Le candidat UMP s'exprimait devant 2500 Guadeloup�ens acquis � sa cause, mais son propos s'adressait � un public bien plus large.

Il faisait notamment allusion � sa proposition tr�s controvers�e, jusque dans les rangs de ses partisans, de cr�ation d'un minist�re de "l'Immigration et de l'Identit� nationale". "Je devais prendre ce risque de perturbation du milieu, s'est-il expliqu� devant les journalistes dans l'avion qui l'amenait sur l'�le, premi�re �tape de sa visite aux Antilles. Depuis que je l'ai fait, j'ai pris six points dans les sondages."

La question de "l'identit�" restera, avec le travail, l'un des principaux th�mes de sa campagne, qui entre dans une nouvelle phase, apr�s le soutien apport� � sa candidature par Jacques Chirac et avec son d�part, lundi, du minist�re de l'Int�rieur.

Le pr�sident de l'UMP estime ainsi r�pondre, notamment, aux aspirations de ce qu'il appelle la "France du 'non'" - celle de la majorit� de Fran�ais qui ont vot� contre la Constitution europ�enne le 29 mai 2005. Elle "est sous-jacente, elle n'a pas disparu. Je la sens, indique-t-il. Elle ne parle pas, on ne parle pas d'elle mais elle va s'exprimer. Moi, je lui parle quand je parle de l'euro trop fort, d'Airbus, de l'identit� nationale, de la politique de l'immigration."

Nicolas Sarkozy a con�u sa strat�gie de campagne en "s�quences". Cette semaine �tait celle du soutien de Jacques Chirac, la semaine prochaine sera celle de son d�part du minist�re de l'Int�rieur. "Il y a le temps du pr�sident et il y a le temps du d�part. Si j'�tais parti hier, �a devenait l'�v�nement de la journ�e".

D�placements quotidiens
La semaine prochaine sera peut-�tre aussi celle du soutien public du ministre de l'Emploi, Jean-Louis Borloo, qui fait durer le suspense. Elle marquera �galement le d�but de "nouvelles rencontres" du candidat avec les Fran�ais, au rythme d'un d�placement par jour. Le premier devrait avoir lieu lundi et mardi dans la r�gion de Marseille. Il serait suivi mercredi par une visite dans le Nord-Pas-de-Calais et � Lille.

La semaine suivante sera celle du programme pr�sidentiel du candidat, ramassant ses propositions en une sorte de synth�se. "Je travaille sur quelque chose, les trois ou quatre id�es que je veux mettre en valeur", a-t-il annonc�.

Le pr�sident de l'UMP, qui disait � la mi-f�vrier � La R�union qu'il commen�ait � "bien sentir cette �lection", se montre plus prudent, bien qu'il reste en t�te dans tous les sondages d'intentions de vote au premier tour. Il veut croire � un duel avec S�gol�ne Royal au second tour, auquel n'acc�derait donc pas le candidat Fran�ois Bayrou - m�me si Nicolas Sarkozy pense que "tout est possible".

Un second tour dans lequel il se projette. "On remettra les compteurs � z�ro. �a sera une campagne diff�rente, pr�cise-t-il. Le deuxi�me tour, c'est rassembler pour changer. J'aurais bien expliqu� le changement au premier tour, il faudra que j'explique le rassemblement au second."

Quant au pr�sident du Front national, Jean-Marie Le Pen, qui avait cr�� la surprise en 2002, il ne sait "pas vraiment o� il est". Mais il anticipe d�j� que "la prochaine histoire", dans les m�dias, apr�s la perc�e Bayrou, "�a sera Le Pen".

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Apr�s avoir fait chanter la Marseillaise jeudi lors de son meeting � Marseille, la candidate du PS souhaite "reconqu�rir" un autre symbole de la nation.


"Je pense que tous les Fran�ais doivent avoir chez eux le drapeau tricolore. Dans les autres pays, tous les gens mettent le drapeau aux fen�tres le jour de la f�te nationale", a affirm� S�gol�ne Royal lors d'un �change informel avec la presse, au lendemain du meeting de Marseille o� elle avait invit� � la fin les militants � entonner l'hymne national.


La candidate du socialiste a indiqu� que si elle est �lue � la pr�sidence de la R�publique, elle ferait "en sorte que les Fran�ais connaissent la Marseillaise, que dans toutes les familles il y ait le drapeau national qui soit l�".


Expliquer les paroles de la Marseillaise


Elle a fait observer que "les sportifs fran�ais sont souvent ceux qui connaissent le moins la Marseillaise (...)". A ses yeux, il faut "expliquer aux Fran�ais le sens des paroles sur lesquelles il y a parfois un malentendu", comme sur cet extrait proclamant "qu'un sang impur abreuve nos sillons", plut�t que de changer des paroles de l'hymne.


Selon la candidate socialiste, il faut "reconqu�rir" les symboles de la nation et en m�me temps et ne pas se laisser enfermer dans un d�voiement de l'identit� nationale". "C'est un �l�ment tr�s important pour la gauche d'avoir r�cup�rer le droit de chanter la Marseillaise, car elle avait cru devoir abandonner l'hymne national � l'extr�me droite", s'est-elle f�licit�e. "C'est la responsabilit� d'un chef d'Etat d'assumer l'hymne national", a encore assur� la candidate, affirmant que la Marseillaise faisait partie "des �l�ments de rassemblement".


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Du c�t� de chez Total �� n'est gu�re mieux...


Christophe de Margerie, sous contr�le judiciaire, a l'interdiction de rencontrer l'ex-pr�sident iranien Ali Akbar Hach�mi Rafsandjani et son fils, cit�s dans cette affaire de commissions occultes en Iran.

Christophe de Margerie, directeur g�n�ral de Total, a �t� mis en examen, jeudi soir 22 mars, pour "corruption d'agents publics �trangers et abus de biens sociaux" dans une enqu�te sur des malversations pr�sum�es en marge d'un contrat gazier avec l'Iran.
A l'issue d'une journ�e et d'une nuit de garde � vue � la Brigade de r�pression de la d�linquance �conomique (BRDE) et de trois heures d'audition chez le juge Philippe Courroye, il a �t� laiss� en libert� sous contr�le judiciaire. D'apr�s le quotidien r�gional L'Est R�publicain, il a l'interdiction, dans son contr�le judiciaire, de rencontrer l'ex-pr�sident iranien Ali Akbar Hach�mi Rafsandjani et son fils, ainsi que plusieurs autres personnalit�s iraniennes cit�es dans le dossier. Le nom du fils de l'ancien chef de l'Etat iranien, Ali Akbar Hachemi Rafsandjani, pr�sident de la R�publique islamique de 1989 � 1997, est apparu dans la proc�dure via le t�moignage dans une enqu�te norv�gienne sur la compagnie nationale p�troli�re Statoil, qui indique qu'un syst�me de corruption �tait organis� autour de celui-ci.
Christophe de Margerie conserve en revanche son passeport et ne paiera pas de caution.

Total nie les accusations

Le patron de la premi�re soci�t� fran�aise et du quatri�me groupe p�trolier mondial peut donc rester en fonctions. Le groupe a indiqu� de toutes fa�ons qu'il n'�tait pas question qu'il d�missionne.
"(...) le groupe est confiant dans le fait que la justice �tablira l'absence d'infraction et r�affirme qu'il exerce ses activit�s dans le respect des lois (...)", a d�clar� Total dans un communiqu�.
Assist� de son avocat, Me Emmanuel Rosenfeld, Christophe de Margerie a ni� toute malversation lors de son audition dans ce dossier ouvert en d�cembre 2006 pour "corruption d'agents publics �trangers et abus de biens sociaux".
Dans la nuit, deux cadres de la soci�t�, le directeur financier Robert Castaigne, et le directeur g�n�ral du secteur gaz-�lectricit� Philippe Boisseau, ainsi que deux ex-cadres de Total, ont �t� lib�r�s apr�s une journ�e d'interrogatoire.
Aucune charge n'a �t� retenue contre eux. Total nie les accusations et soutient ses collaborateurs.
L'enqu�te porte sur des versements pr�sum�s de fonds occultes � des responsables officiels iraniens en marge d'un contrat d'exploitation de gaz sur le site de South Pars sign� en 1997.

Dans le groupe depuis 1974

L'information judiciaire contre "X" pour "abus de biens sociaux et corruption d'agents publics �trangers" a �t� ouverte apr�s une d�nonciation de la justice suisse.
Le gisement gazier offshore de South Pars, situ� � 100 km des c�tes iraniennes, a �t� inaugur� en 2003 en ex�cution d'un contrat sign� en 1997. Sa gestion est partag�e entre Total, le malaisien Petronas et le russe Gazprom.
Christophe de Margerie, 55 ans, est entr� dans le groupe en 1974 et a succ�d� � la mi-f�vrier � Thierry Desmarest � la t�te du g�ant p�trolier. A l'�poque des faits, il �tait directeur de la soci�t� pour le Moyen-Orient.
La proc�dure visant l'Iran fait suite � la d�couverte de tr�s importantes sommes d'argent, 38 millions de dollars (28 millions d'euros) vers�s par une entit� li�e � Total sur des comptes bancaires suisses entre 1997 et 2003.
Ces sommes sont cens�es avoir r�mun�r� des prestations de conseil, mais aucune justification de ces prestations n'a pu �tre fournie par Total, dit-on de source judiciaire.

Le fils Rafsandjani cit�

Un des cadres de la soci�t� interrog� par la police a indiqu� que l'argent, qui a finalement abouti sur des comptes � Douba�, a �t� cr�dit� au b�n�fice du secr�taire du fils d'Ali Akbar Hachemi Rafsandjani.
Christophe de Margerie a d�clar� qu'il l'ignorait. Les paiements se sont �chelonn�s jusqu'en 2003, trois ans apr�s la signature par la France d'une convention internationale contre la corruption, qui s'applique donc aux faits.
La justice suisse, qui a saisi les derniers versements a ouvert sa propre enqu�te et transmis des documents � la France, dont un relatif � une proc�dure judiciaire norv�gienne.
Ce document fait aussi appara�tre comme possible acteur de la corruption le nom du fils d'Ali Rafsandjani.
Christophe de Margerie a d�j� �t� mis en examen l'an dernier dans une affaire similaire concernant l'Irak de Saddam Hussein, pour "complicit� de corruption et complicit� d'abus de biens sociaux".
Ce dossier porte sur la corruption pr�sum�e d'officiels irakiens en marge du programme de l'Onu "P�trole contre nourriture".

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L'�cart se resserre entre Sarkozy
et Royal au premier tour



Le candidat UMP � la pr�sidentielle Nicolas Sarkozy serait �lu pr�sident de la R�publique avec 52% des voix contre 48% � la socialiste S�gol�ne Royal, cette derni�re progressant toutefois au 1er tour, selon un sondage TNS Sofres/Unilog pour LCI et Le Figaro, rendu public vendredi 23 mars.
Au 1er tour, l'�cart se resserre entre Nicolas Sarkozy, � 28% (-3), et S�gol�ne Royal � 26,5% (+2,5).
Fran�ois Bayrou est quasi-stable � 21,5% (-0,5), et Jean-Marie Le Pen (FN) reste quatri�me avec 11% (-1).
Aucun autre candidat n'obtient plus de 3,5% des intentions de vote. Olivier Besancenot est � 3,5% (+1,5), Jos� Bov� � 2,5% (+0,5), Marie-George Buffet � 2% (-0,5), Arlette Laguiller � 2% �galement (=). Trois candidats recueillent 1% d'intentions de vote: Dominique Voynet (=), Fr�d�ric Nihous (+1) et Philippe de Villiers (+0,5). Enfin G�rard Schivardi ferme la marche avec moins de 0,5% (=).
Au 1er tour, S�gol�ne Royal serait en t�te chez les 25-34 ans et Nicolas Sarkozy dans toutes les autres cat�gories d'�ge.

62% des personnes s�res de leur choix

Les sondeurs enregistrent en outre 81% d'int�r�t pour l'�lection pr�sidentielle, un taux �lev� et encore en hausse de 2 points par rapport � la pr�c�dente enqu�te r�alis�e les 14 et 15 mars.
Enfin, 62% des personnes interrog�es se disent s�res de leur choix (+3). Cette proportion varie toutefois nettement en fonction des candidats: 75% des sond�s optant pour S�gol�ne Royal sont s�rs de leur choix, tout comme 73% pour Nicolas Sarkozy et 68% pour Jean-Marie Le Pen. Mais cette proportion n'est que de 53% pour ceux qui choisiraient Fran�ois Bayrou. (AFP)


Egalit� parfaite selon CSA


Selon un autre sondage, r�alis� par CSA/Cisco pour Le Parisien, Aujourd'hui en France et i-Tele, �galement rendu public vendredi 23 mars, Nicolas Sarkozy et S�gol�ne Royal sont au coude � coude au second tour de la pr�sidentielle, cr�dit�s chacun de 50% d'intentions de vote.

Compar� au pr�c�dent sondage r�alis� le 14 mars, le candidat UMP a perdu 3 points (53%) et la candidate socialiste en a gagn� trois (47%).

Vingt-neuf pour cent des personnes sond�es pr�cisent qu'ils s'abstiendront, voteront blanc ou nul, contre 27% lors du pr�c�dent sondage.

Jean-Marie Le Pen � 13%

Au premier tour, Nicolas Sarkozy est cr�dit� de 26% d'intentions de vote, il perd un point et S�gol�ne Royal est stable � 26%.

Les deux candidats sont suivis de Fran�ois Bayrou (UDF) qui est stable � 21% et de Jean-Marie Le Pen qui perd un point � 13%.

- Le sondage a �t� r�alis� par t�l�phone les 21 et 22 mars aupr�s d'un �chantillon de 894 personnes �g�es de 18 ans et plus.

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Le Kaisou est cher, que veux tu, comme toutes les bonnes choses rares et recherch�es...

Petit zoom sur un des candidats les moins connus et parmi les moins m�diatis�s :

G�rard Schivardi, le ma�on qui veut d�faire l'Europe

G�rard Schivardi, qui a �t� le premier des candidats n�appartenant pas � une grande formation � annoncer le d�p�t de plus de 500 parrainages, se pr�sente comme �le candidat des maires� avec le soutien du Parti des Travailleurs (PT, trotskyste).

Cet artisan ma�on de 56 ans, maire de Mailhac (Aude) et conseiller g�n�ral de Ginestas, est jusqu�� pr�sent largement inconnu du grand public, m�me si le PT qui le soutient �tait d�j� pr�sent il y a cinq ans dans la course � l�Elys�e. Son candidat, Daniel Gl�ckstein, secr�taire national du PT, avait recueilli 132.686 voix (0,47%).

Pour autant, G�rard Schivardi n�est pas novice en politique. Ancien membre du PS, celui qui se proclame �l�un des derniers vrais socialistes� est maire de sa commune depuis 2001. Il a d�missionn� du PS en 2003, lorsqu�il s�est fait �lire conseiller g�n�ral� contre le candidat investi par le PS.

A l��poque d�j�, ce descendant d�immigr� italien s�est fait le porte-parole des maires qui bataillent, au nom de la libre administration des communes, contre l�intercommunalit� forc�e mais aussi pour garder leurs services publics.

C�est � Mailhac qu�il participe en 2002 � la cr�ation du Comit� de d�fense des communes et des services publics, avec des �lus et des responsables du PT.

Un soutien qu�il assume totalement, m�me s�il refuse d��tre catalogu� � l�extr�me gauche. �Il serait donc devenu extr�miste dans ce pays de d�fendre les communes, les services publics face � l�Union europ�enne qui en a d�cid� la privatisation?�, interroge-t-il.

Car pour lui, d�fendre les 36.000 communes c�est d�fendre la d�mocratie. �Nous les maires, affirme-t-il, nous sommes des �lus du suffrage universel.� �Et ce mandat nous commande de d�fendre l��cole, le bureau de poste, la maternit� de proximit�, la viticulture, le commerce, l�artisanat et notre industrie�, ajoute-t-il.

Autant de besoins sociaux qui sont �incompatibles�, � ses yeux, avec le Trait� de Maastricht, comme l�est la renationalisation d�Airbus qu�il r�clame pour �stopper le d�mant�lement d�EADS�. G�rard Schivardi exige �la rupture avec l�Union europ�enne, sa commission de Bruxelles, sa Banque centrale et son pr�tendu Parlement�.

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Un soutien de poids pour Madame Royal, en face il y a bien Steevy Boulay...

Madame de Fontenay soutient S�gol�ne Royal

La pr�sidente du comit� Miss France, qui s'�tait illustr�e en 2002 en soutenant Arlette Laguiller, a fait son choix pour 2007. Ce sera S�gol�ne Royal. Elle s'en explique dans une vid�o diffus�e sur le site du parti socialiste.

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Je l'ai re�u apr�s l'avoir command�, je ne l'ai pas encore commenc� pour le moment, mais un grand merci au patron des lieux pour ses remerciements

Si vous �tiez � vendre, quel serait votre "prix"?

Humain � vendre

Pour ma part :

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Qui dit mieux?

Lucie Aubrac: hommage aux Invalides

Un Hommage solennel et les honneurs militaires ont �t� rendus � Lucie Aubrac mercredi aux Invalides

Dans la cour d'honneur des Invalides, en pr�sence de Raymond Aubrac, Jacques Chirac a pris la parole, rendant un hommage � celle qui a pris "place parmi ces justes de France".

Lucie Aubrac est d�c�d�e il y a une semaine � l'H�pital suisse de Paris, � Issy-les-Moulineaux � l'�ge de 94 ans.

Cette fille de vigneron devenue professeur d'histoire, avait contribu� � cr�er Lib�ration-Sud d�s 1940 et organis� l'�vasion spectaculaire de son mari d�tenu par la Gestapo.

Les plus hautes autorit�s fran�aises ont rendu un hommage unanime cette grande figure de la R�sistance. Des voix ont commenc� � s'�lever pour proposer son transfert au Panth�on. Le d�put� UMP Lionnel Luca a ainsi estim� que "notre nation s'honorerait en lui t�moignant l'hommage le plus �lev� qui soit en faisant en sorte qu'elle rejoigne Jean Moulin au Panth�on".

Lucie Aubrac �tait hospitalis�e depuis deux mois et demi quand elle est d�c�d�e il y a une semaine.

Dans l'un de ses derniers engagements, d�but 2007, Mme Aubrac appelait � "r�sister � l'ordre �tabli", notamment au lib�ralisme et � une classe politique ayant "le plus grand int�r�t � ce que rien ne change".

En juin dernier, elle avait inaugur�, notamment avec Simone Veil, dans un lyc�e de Seine-Saint-Denis, une exposition sur le camp d'Auschwitz.

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Sarkozy devra d�fendre le bilan de Chirac, dit Le Pen

PARIS (Reuters) - Le soutien affich� par Jacques Chirac � Nicolas Sarkozy obligera le candidat UMP � la pr�sidentielle � r�pondre du bilan du pr�sident de la R�publique, estime Jean-Marie Le Pen.

"Cela a une cons�quence politique importante, c'est que cela cr�dibilise le fait que Sarkozy devra r�pondre et d�fendre le bilan de Jacques Chirac", a d�clar� le candidat du Front national en marge d'une rencontre-d�bat avec la CGPME.



"Si j'�tais M. Sarkozy, j'aurais quelques inqui�tudes parce que je me souviens du soutien que M. Chirac a apport� � Val�ry Giscard d'Estaing en 1981, qui n'a pas �t� particuli�rement b�n�fique", a-t-il ajout�.

Jean-Marie Le Pen a pr�cis� que le soutien apport� par le chef de l'Etat � Nicolas Sarkozy ne l'�tonnait pas. "Ce qui m'�tonne, c'est que le pr�sident de la R�publique en fonction se soit mis au niveau d'un parti politique (...) Il s'est mis au niveau de l'UMP en disant que c'est lui qui l'avait fond� et que Sarkozy en �tant le chef, il �tait naturel qu'il le soutienne.

"Ce n'est pas un soutien tr�s chaleureux. Je ne suis pas s�r qu'un soutien chaleureux de Jacques Chirac aurait apport� quelque chose de plus � M. Sarkozy", a conclu Jean-Marie Le Pen.

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Paul "Gazza" Gascoigne contre l'Ecosse � l'Euro 96

Faut juste se faire une petite place